Mais n’te promène donc pas toute nue, Feu la mère de madame

Mais n’te promène donc pas toute nue, Feu la mère de madame

Création 10 juillet 2014

(32 représentations)

Pour fêter dignement les trente ans de la compagnie, la Tête de Mule s’attaque à deux pièces en un acte parmi les plus célèbres de Georges Feydeau.

« Mais n’te promène donc pas toute nue » : Le député Ventroux se plaint que son épouse se promène sans cesse en tenue légère dans l’appartement, alors qu’il doit recevoir un important indusriel susceptible de servir sa carrière politique…

« Feu la mère de madame » : Un homme rentre chez lui en pleine nuit, passablement éméché. Alors que sa femme l’accable de reproches et que la dispute ne cesse d’enfler, un domestique les interrompt pour annoncer le décès de la mère de madame…

Dans la dernière partie de sa vie, le dramaturge décrira avec une noirceur de plus en plus grande l’enfer quotidien du couple petit-bourgeois, dans lequel l’amour n’a nullement sa place, au contraire des veuleries, humiliations, ainsi que la crainte obsessionnelle du qu’en-dira-t-on.

Inutile de rappeler que cette mécanique de précision tient surtout par un éclat de rire permanent !

3 réflexions sur « Mais n’te promène donc pas toute nue, Feu la mère de madame »

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